Le chorégraphe italien Alessandro Sciarroni à l'Usine C
20 février 2017
Article à propos du spectacle Folk-s / Will you still love me tomorrow? présenté à l'Usine C.
- Oliver Koomsatira
L’Usine C présentera le spectacle Folk-s / Will you still love me tomorrow? du chorégraphe Alessandro Sciarroni du 21 au 23 février. Pour les curieux, il y aura même une discussion avec lui le 23 février après la représentation. Vous pourrez ainsi lui poser des questions à propos de son oeuvre ou sa carrière. D’une durée de 1h30, son spectacle se base sur une danse folklorique de Bavière et du Tyrol nommée le schuhplattler. Sa traduction veut en fait dire « battre la semelle », ce qui représente bien cette forme de danse, n’est-ce pas? Pour avoir vu plusieurs spectacles de danse traditionnelle, il faut en effet avoir de bonnes semelles!
En plus d’être performeur, chorégraphe et metteur en scène, Alessandro Sciarroni a suivi une formation en arts visuels et accumule plusieurs années de pratique théâtrale. Il a notamment été récompensé par le magazine italien Danza&Danza avec le prix du meilleur espoir. Il est aussi le premier artiste italien soutenu par Modul-Dance, un projet de coopération entre 19 centres de danses européens. Sa création Folk-s a d’ailleurs ouvert l’édition 2013 des Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis et tourne un peu partout depuis 2012. Elle sera prochainement présentée à Hong Kong, en Allemagne et à Latvia après sa tournée canadienne.
Si vous ne le connaissez pas encore, sachez qu'Alessandro Sciarroni a créé 14 pièces, dont Chroma (don’t be afraid of turning the page), qui sera prochainement en tournée en France ainsi qu’en Italie. Depuis 2007, son travail a été présenté dans 21 pays européens, en Uruguay ainsi que dans les Émirats Arabes Unis.
Le schuhplattler est une forme de danse qui a bel et bien survécu au passage des générations. L’utilisant comme point de départ pour faire une étude chorégraphique du rythme, le chorégraphe examine aussi la résistance du corps. La répétition est donc au rendez-vous car à partir « d’une séquence obsédante, indéfiniment répétée, l’espace rythmique se redessine au présent ». On y retrouve ainsi des solos et des duos pendant que le groupe de six interprètes se transforme tel « une matière organique en constante évolution ». Le chorégraphe révèle ainsi la fragilité des corps.
Pour plus de détails sur le spectacle, visitez le site web de l’Usine C.
http://usine-c.com/folk-s/
En plus d’être performeur, chorégraphe et metteur en scène, Alessandro Sciarroni a suivi une formation en arts visuels et accumule plusieurs années de pratique théâtrale. Il a notamment été récompensé par le magazine italien Danza&Danza avec le prix du meilleur espoir. Il est aussi le premier artiste italien soutenu par Modul-Dance, un projet de coopération entre 19 centres de danses européens. Sa création Folk-s a d’ailleurs ouvert l’édition 2013 des Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis et tourne un peu partout depuis 2012. Elle sera prochainement présentée à Hong Kong, en Allemagne et à Latvia après sa tournée canadienne.
Si vous ne le connaissez pas encore, sachez qu'Alessandro Sciarroni a créé 14 pièces, dont Chroma (don’t be afraid of turning the page), qui sera prochainement en tournée en France ainsi qu’en Italie. Depuis 2007, son travail a été présenté dans 21 pays européens, en Uruguay ainsi que dans les Émirats Arabes Unis.
Le schuhplattler est une forme de danse qui a bel et bien survécu au passage des générations. L’utilisant comme point de départ pour faire une étude chorégraphique du rythme, le chorégraphe examine aussi la résistance du corps. La répétition est donc au rendez-vous car à partir « d’une séquence obsédante, indéfiniment répétée, l’espace rythmique se redessine au présent ». On y retrouve ainsi des solos et des duos pendant que le groupe de six interprètes se transforme tel « une matière organique en constante évolution ». Le chorégraphe révèle ainsi la fragilité des corps.
Pour plus de détails sur le spectacle, visitez le site web de l’Usine C.
http://usine-c.com/folk-s/